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Derni​è​re Mise A Jour

by La 6ème République

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1.
Obéir Tue 02:16
Obéir Tue. Obéir nuit gravement à votre santé et à celle de votre entourage. Obéir provoque la disparition de la liberté. Obéir peut entrainer une mort lente et douloureuse. Déléguer son pouvoir augmente les inégalités sociales. Le pouvoir crée une forte dépendance, ne commencez pas. Le pouvoir peut nuire à la population et exploiter sa crédulité. Les followers meurent prématurément Protégés les enfants : ne leur faites pas écouter la propagande médiocratique. Les publicitaires et votre banquiers sont pas près de vous aider à arrêter de consommer. L'argent est le nerf de la guerre et provoque des crises économiques et des attaques terroristes. Arrêter le capitalisme réduit le réchauffement climatique et les risques d'exploitation. Le culte de l'argent réduit la population à l'esclavage. Faites vous aidez pour arrêter le pouvoir téléphoner au 05 19 68 20 18... Fast French Lyrics translation in English : Obey seriously harms your health and that of those around you. Obey causes the disappearance of freedom. Obeying can lead to a slow and painful death. Delegating one's power increases social inequalities. Power creates a strong dependency, do not start. Power can hurt people and exploit their credulity. The followers die prematurely Protect the children: do not make them listen to the media propaganda. Advertisers and your bankers are not about to help you stop consuming. Money is the nerve of war and causes economic crises and terrorist attacks. Stopping capitalism reduces global warming and the risks of exploitation. The cult of money reduces the population to the slavery. Need help to stop the power ? call the 05 19 68 20 18 ...
2.
L'Argent Sale. Refrain : L'Argent.... Sale... L'Argent... Tue ! Le fric ça pue ! Le fric ça tue ! Si on est dans la rue, c'est pour la liberté ! Désobeir au roi... Si on est dans la rue c'est pour l'égalité ! Désobeir aux hierarchies... Si on est dans la rue c'est par solidarité ! Désobeir aux lois... Monsieur le saint patron de la corruption : Notre monde, on le construira sans toi. La porte ouverte à l'inconnu. Qui n'essaye pas d'atteindre l'impossible n'obtient rien que des restes... Oser rever, quitte a en crever ! Rendre coup pour coup c'est un truc de macho. Nous sommes moins idiots, on aura toujours un coup d'avance sur tes stratégies pourries. Nos fleurs sont bien meilleur que tes tazers. Ton armée de démarcheurs n'a qu'un tyran a la place du coeur.
3.
Ravage à la ZAD. Regarder le chemin que tu empruntais pieds nus le matin pour aller prendre ton café à la cabane collective du coin. Il y a maintenant d’énormes traces de la chenille venue dévaster ta maison. Le jardin où tu regardais le printemps arriver, les aubépines fleurir jour après jour, le rouge-gorge historique du lieu qui te chantait bon matin. La petite mare aux salamandres que tu observais les soirs de pleine lune, lorsqu’elles se retrouvaient en masse à la lumière nocturne pour repeupler le bocage. Maintenant, c’est sillons de pelleteuses, carnage écologique, silence crispé. Images d’un gouvernement qui nourrit nos rages. La politique-spectacle, au nom d’un soit-disant état de droit (les droits de qui ?) que l’on sait bien plus souvent dans l’illégalité que nous, a décidé d’anéantir toute tentative de prendre une autre direction qu’un monde qui va dans le mur. Pas de méprise Jupiter, on sera toujours du côté des salamandres. https://nantes.indymedia.org/articles/41088
4.
La Malédiction des Pandores. Par la terre nourricière et la sentence de la nature, Nous exécrons, maudissons, abominons, haïssons et vomissons les pantins de flics et les pandores esclaves de l'ordre Bourgeois, qui viennent détruire la vie, l'humanité, nos merveilleux espoirs et nos rêves éveillés ! Qu'ils soient maudits le jour et maudits la nuit, maudits au coucher et maudits au lever, Qu'ils soient maudits dès qu'ils entrent dans la forêt, Qu'ils soient maudits toutefois si ils en sortent. Que leurs dents se déchaussent, qu'elles tombent dans leur bouche, dans leur mains vérolées qui se déchireront en crevasses sanguinolentes et purulentes.   Que leurs yeux vitreux crèvent et deviennent laiteux, Qu'ils deviennent boiteux, bossus, cons et alcooliques (non, ça c'est déjà fait!) Qu'ils crèvent la bouche ouverte, seuls, vaincus par toutes les maladies connues, sans espoir de guérir et même sans espoir de mourir.   Maudits soient les voleurs en costard-cravate, et les voleuses en tailleur-chemisier, les accumulateurs, qui sont si laids et si fielleux et si monstrueux, Maudits soient les vampires de l'Etat et ceux des Conseils d'Administration ! Le monde qu'ils façonnent avec violence, sous couvert de « bon droit », sous couvert de « la loi », et de leur suffisance, Ce monde touche à sa fin, il leur explosera à la gueule.   Et maudits soient les pandores qui leurs obéissent ! https://nantes.indymedia.org/articles/40836
5.
Révolution sans frein. La révolution ne sera pas une partie de campagne La révolution n’aura pas la couleur d’un bulletin de vote Elle oubliera la politique à la papa dans la glacière La révolution ne sera pas un pique-nique La révolution n’aura pas le label « vu à la télé » Elle arrivera sans crier gare dans les studios de TF1 La révolution ne sera pas un lendemain qui chante La révolution n’aura pas le goût du grand soir Elle se serrera la ceinture et crispera les poings La révolution ne se gagnera pas en traînant des pieds La révolution ne se fera pas au pas de charge le poing tendu Elle progressera en terrain meuble mais à couvert La révolution n’est pas une résistance passive La révolution ne restera pas ni molle ni pacifique Elle emportera la résignation sur son passage La révolution asséchera le capital à sa source La révolution sapera le profit par la racine Elle fera une grande saignée dans les idées reçues La révolution taillera là où le pouvoir a pourri La révolution mine toutes les colonnes d’argent Elle ressemblera à une carrière à ciel ouvert La révolution se prépare de longue date La révolution se gagnera à long terme Elle a déjà commencé ….et tu l’ignores encore Couplet qui ne figure pas dans le morceau La révolution ne se fera pas sans casser des œufs La révolution se fera sans ceux qui nous les cassent Elle brisera menu tous les appels au consensus mou Martin Gore
6.
Oser Etre 08:00
Oser Etre : Arrêter d'être soumise ! Etre libre ! Oser penser ! L’aliénation de nos corps, le marquis de Sade l'avait vu venir. La prolongation du système marchand, dans nos vies affectives. On se voile la face, quant on croit être autre chose, qu'un bien de consommation. La seule place qui nous est laissée, et celle de notre féminité : Le culte des corps, le packaging dans son outrance. Même l'obsolescence est programmée. Des territoires à conquérir, des richesses à piller... Le capitalisme et le patriarcat sont intimement liés : La propriété, la hiérarchie du dominant / dominée, le jeu du pouvoir, la compétition, l'exploitation, l'oppression et l'exclusion... On retrouve toujours les mêmes mots clefs. Les mâles dominants qui passent leur temps à nous malmener, c'est bien plus facile pour asseoir leur autorité, écraser l'autre pour se rassurer qu'ils sont les plus fort. Ce qui est le plus dur dans les ruptures, c'est la violence de ceux qui ne supportent pas de ne plus nous posséder. Le patriarcat et ses sbires me donnent envie de vomir... Même si on s'évade de nos cages sexuelles, on est confrontées aux ravages d'une trop grande part de la gente masculine, le champ de bataille de la perversité, les séquelles dans la chaire de nos amies. Le matraquage pornographique qui normalise les violences sexuelles. En fRance, au moins une femme qui meurt tous les trois jours des conséquences des violences conjugales... Je meurs, tu meurs, nous mourrons... sous une chape de silence. Oser penser : Soigner ses plaies, se libérer des traumas ? Toujours lutter pour être entendue, quand on dit "penser" ils comprennent "soigner", c'est un réflexe bien ancré, de nous réduire à un corps fonctionnel, l'amoureuse ou la mère, alors qu'on dit haut et fort ce que l'on PENSE. Oh la source des fantasmes. Oh le ventre rond ou le ventre creux. Oh le zéro informatique. Tout ce qu'une femme fait ou dit est interprété de façon terriblement binaire. Arrêter d'être soumise : Refuser que mes relations se résument à baisable ou pas ! Si les sociétés matriarcales sont horizontales, fondée sur le partage, inclusives au lieu d'être exclusives, c'est simplement qu'une mère aime tous ses enfants, elle leur donne tous naissance. Tandis que le père souvent choisit celui qui lui ressemble le plus, il engendre la compétition, entraîne l'uniformité au lieu de la diversité. En réalité, tant qu'on sera enfermées dans le modèle patriarcale, il n'y aura de liberté pour personne. Comment s'en sortir ? Créer des murs et ça perdure, mais construire des ponts, c'est trop souvent être envahie, alors pourquoi ne pas prendre exemple sur les plantes ? Quand on se dirige vers les mêmes énergies, on se rapproche, on se rejoint, jusqu'à finir par se toucher. Etre libre : Qu'ils n'aient plus prise sur moi. Je ne serai jamais plus une victime humiliée et meurtrie. Je ne serai jamais non plus une citadelle bardée d'archets. Oser Etre : ce que personne ne me dit. Je suis ma voix.
7.
Apocapitalisme Now. Je te préviens, sale petit enfoiré de gauchiste, que l’horreur a sonné pour ton comité de mes deux je vais lâcher mes nervis sur tes banderoles de papier crépon intervention musclée de mes sections d’assaut je vais te faire empaler sur ton piquet de grève, mon pote et c’est pas tes trois barbus en orange fluo qui vont empêcher mon pognon de ruisseler en circuit fermé dans sa fontaine à dollars arrosage en règle des politiques et des médias je paye des chiens de garde pour aboyer dans les journaux tout ce que j’ai envie d’entendre, alors, ta gueule tu vas regretter ton boycott en correctionnelle et ravaler ton vomis de fraternité, ô mon frère! L’argent ne fait peut-être pas le bonheur de ceux qui en bouffent mais il fait sûrement le malheur de ceux qui en chient et c’est pas toi qui diras le contraire, connard, alors tu remballes tes revendications et tu passes à l’as licenciement à sec, mon coco, t’as plus que ton cul pour pleurer Apocapitalisme now tu comprends, ou pas, mais les acquis de ma caste sont gravés dans le marbre de mes sièges sociaux fais donc pas chier avec tes conventions collectives à la noix laisse-moi engranger des dividendes à la pelle arrête avec tes réclamations hors sujet et obscènes je sais rester courtois, moi, môssieur, on est chez les bourgeois tout de même tu ne sauras jamais le plaisir de se goinfrer de stock options tu es né dans le mauvais camp, pauvre nouille tu ne connais que les coups de schlague du marché et tout le barnum du libéralisme à la cool que te répètent les télés qui ânonnent le même credo c’est en travaillant qu’on s’enrichit, mon cul et c’est en payant la dette que tu engraisses mes amis et moi, j’encaisse les boules par wagons entiers, la roue tourne, que tu crois du-con et ça roule ma poule Apocapitalisme now Mes usines bouffent ta campagne à s’en faire péter la ruche la pub abrutit les décérébrés qui se saignent aux quatre veines toi tu rembourses, moi, je te pique ce que je te prête, à tous les coups je me remplis les poches et tu te vides le corps je palpe le flouze qui sort de ta sueur, pauvre prole,défoncé à l’huile de palme, tandis que j’implose sur ma thune toi, tu creuses ta tombe, tu creuses et tu en crèves tu trimes pour ta retraite, mais tu n’en verras pas la couleur je te tue à la chaîne comme un chien, y a plus de lutte, t’iras jamais en finale j’ai gagné et c’est moi qui dicte les règles t’as pas compris que c’est moi qui écris ton histoire et celle de tous tes gosses prolétaire de mes multinationales pauvre pou dont j’ai rien à battre moins que zéro, souffre douleur combien tu veux pour ton sourire sale gaucho, immonde fainéant combien tu veux pour ton bonheur Apocapitalisme now Martin Gore
8.
Refoulement Général. Tout ce qu'on cherche à oublier, tout ce qu'on refoule à l'intérieur. C'est que c'est une guerre sans merci, ils font leurs profits sur nos vies. Tout ce qu'on cherche à oublier, tout ce qu'on refoule à l'intérieur. C'est qu'ils mentent comme ils respirent, ils ont le sang de nos proches sur leurs mains. Tout ce qu'on cherche à oublier, tout ce qu'on refoule à l'intérieur. C'est que si l'on résiste à leur violence, ils s’offusquent de notre vaillance dans leurs journaux. Tout ce qu'on cherche à oublier, tout ce qu'on refoule à l'intérieur. C'est que si on baisse les bras, qu'on les laisse diriger le monde, il ne nous reste plus qu'à nous immoler. Tout ce qu'on cherche à oublier, tout ce qu'on refoule à l'intérieur. C'est qu'il nous exterminent pour des illusions, ils sont tellement pourris de fric qu'ils ne peuvent même pas dépenser ce qu'ils nous arrache. Ils nous massacrent pour des chiffres, pour une simple partie de monopoly. Pris à nos corps défendant dans leur sale guerre... Tout ce qu'on devrait chercher, c'est comment survivre, sans fermer les yeux, ne plus avoir peur, garder le regard fixe plongé dans leur inhumanité Tout ce qu'on devrait chercher, c'est comment survivre, sans rester les bras croisés se serrer les coudes, main dans la main, pour construire des espaces de liberté Tout ce qu'on devrait chercher, c'est comment survivre, sans les laisser faire de nos vies un enfer. désobéir aux lois, résister et lutter ne plus jamais fuir nos responsabilités Mettre fin au refoulement général.
9.
Le monde à l'envers... Quoi ? Le monde à l'envers... la guerre : tant que les hommes qui ont peur de mourir passeront leur temps à détruire toute forme de vie. Le monde à l'envers... un cataclysme climatique : tant que les multinationales se serviront des états pour contrôler nos vies. Le monde à l'envers... un précipice : tant qu'il y aura la propagande publicitaires pour nous faire croire que c'est un chemin plein d'avenir. Le monde à l'envers... sa fin : tant que l'on nous vendra ce qui causera notre fin. Qui peut se regarder dans le miroir le matin, sans se décevoir ? S'il est interdit de continuer à faire semblant d'être vivant, de ne pas oser l'impossible, de commémorer ce qui attend encore d'avoir lieu... Arrêt de mort, trêve d'hypocrisie, cessons de jouer à saute moutons, reprenons le temps de vivre, a ceux qui nous l'achète pour de l'argent, ou nous le vole pour du vent, interdit de vendre son temps de vie, on ne devrait avoir que le droit de l'offrir. Ne plus céder au chantage, aux menaces sur nos proches, il n'y a que des alternatives, si nous sortons du capitalisme, le système le plus obsolète, qui ne laissera la place, que si les têtes tombent. Le virus de la contre-culture secrète l'antidote au vaccin de la normalité. Ce que tu consommes est ce que tu es. La liberté c'est déjà refuser ce qui est programmé par le système. La moutarde nous monte au nez, l'ennemi est armé jusqu'aux dents, et ne s'arrêtera pas tant qu'il restera encore un survivant. A ça ira ? ça ira mieux, quand tout un chacun sera ingouvernable, ça ira mieux, quand les riches auront rendu leurs privilèges, car il n'y aura plus autant besoin de lois. ça ira mieux, quand on s'entraidera pour vivre ensemble, riche de notre diversité. Il n'y a pas une conspiration, mais autant que de réseaux d'individus, tels des vautours, se disputant la moindre miette de pouvoir. Tant que l'objectif principal de la société sera l'accumulation des profits par une minorité, au détriment du plus grand nombre, il n'y aura pas d'avenir. A ça ira ? Le monde allant vers un précipice sans fin, sans que personne ne fasse rien pour que ça s'arrête. ça ira pas tant qu'on ne changera pas de cap, qu'on ne construira pas de pont, qu'on ne prévoira pas de parachutes... Tout ce qu'on a c'est la souffrance, tout ce qu'on a c'est la violence. Tout ce qu'on est c'est l'espoir, tout ce qu'on est c'est la solidarité. Pour que naissent de nouveaux mondes, il faudra que l'ancien monde disparaisse, et hors de question de se faire refourguer un énième lifting, un green washing ou quoi que ce soit d'autre... A ça ira ? ça ira pas, tant que le monde sera à l'envers, qu'on obéira à nos adversaires, qu'on acceptera leurs lois, leurs règles, leurs mensonges, comme du pain bénit. Quel que soit leur nom : multinationales, banques, partis, mafias ou quoi que ce soit qui se cache derrière l'état. Tant qu'ils nous mèneront à l'abattoir, sur une terre devenue cimetière. A ca ira ? ça ira quand on cessera de se mentir, de prétendre allez bien, alors que c'est de pire en pire, que nous sommes malades à en crever de ne pas voir la stratégie de l'adversaire, qui consiste à appliquer sans pitié l'enseignement du projet MK-Ultra, la stratégie du choc, la casse social, toujours plus forte. Jusqu'à ce qu'il n'y ait plus aucune résistance. A moins qu'il n'y ait pas d'adversaire, comme dans le lit de paix, qui ne soit notre création, celle de nos renoncements, de nos peurs et nos fantasmes, que nous soyons les projecteurs de la dernière séance, le film d'horreur absolu, dont nous sommes les victimes consentantes, derrière nos masques de spectateurs. L'heure fatidique du seuil critique est passé, l'enfant qui naît aujourd'hui, n'a ni mère, ni père, juste des assassins derrière lui et le vide devant. Il n'y a plus le droit d'échouer, on ne peut plus laisser couler, ce n'est pas nos vies qu'il faut défendre contre la mafia politicienne, c'est celle de tout un chacun, à présent et demain. Contre cette poignée de gredins malades du profit qui nous pourrit la vie. A ça ira ? ça ira pas, tant que les riches persécuteront les pauvres, tant qu'il y aura un pouvoir pour opprimer le peuple, tant qu'ils nous ferons passer des vessies pour des lanternes, leurs beaux discours pour des promesses. A l'envers du décor, le spectacle n'a pas changé, pas dévié d'un pouce, de sa triste finalité, faire croire qu'ils sont vivants aux pantins dociles qui suivent le scénario du droit chemin. Nous sommes les résidus d'un temps révolu, agonisant dans un monde à l'envers. Ce n'est pas de l'air qu'on respire, on étouffe dans la merde. Les gens ne luttent à mort que pour défendre leur prison. Ils mettent sans hésitation le gilet fluo de l’extrême droite, mais rarement ne bougent le petit doigt, pour aider le moindre migrant. Gouvernés par l'argent et la soif du pouvoir, ils transpirent la haine et ne sont capable que d'une révolution fasciste. Ils écrasent leurs semblables pour les dépouiller et ça risque pas de changer, tant que le monde tournera à l'envers... quoi ? Un manège détraqué avec un pompon nucléaire ou bien une corde pour pendre l'enfant sauvage qui est en nous. Celui qui rêve encore d'un monde meilleur, qui refuse la fatalité, même s'il se prend des torgnoles chaque fois qu'il l'ouvre Et qu'on le traite de fou avec toutes ses utopies invendables d'ado attardé, parce qu’il a refusé de vendre son âme au système. Le monde tourne à l'envers... quoi ? On ne sait pas ou trop bien, alors on se bourre la gueule, on se défonce aux anxiolytiques, aux antidépresseurs ou à la C... pour pas voir la fin, pour ne pas regarder, quand tout crack et qu'il ne reste plus rien qu'à force de misère, le monde ne marche plus. même à l'envers. Il s’arrête... Pour nous éjecter, se protéger de notre toxicité. Pour se concentrer sur de biens meilleurs énergies que celles qui nous polluent aujourd'hui, qui nous donnent des airs de zombis, tellement qu'on pu la mort, damnés debout. Peut-être que si on faisait le tri, qu'on prenait conscience de ce qui compte vraiment sans attendre de le perdre. Si on ne luttait que pour ce qui le mérite : ce qui nous fait du bien. Si on refusait de baisser les bras, de se complaire dans notre malheur. Si on soignait un peu notre monde intérieur, Si on arrêtait de se mentir. Qu'on se donne les moyens d'être heureux, qu'on ouvre à peine les yeux pour voir que rien n'a de sens, ni ne compte dans l'illusion. On descendrait du manège pour s'occuper de nos jardins, de nos amies, de nos amours, de nos famille de cœur. On se rendrait compte que planter une graine ça porte des fruits, qu'ouvrir sa porte c'est le chemin de la liberté, que l'or de tout ce qui brille n'égalera jamais l'éclat de nos yeux, quand on se balade en toute liberté, que l'on connait le plaisir de vivre et la joie de le partager. Est ce qu'on va encore longtemps les laisser nous la faire à l'envers?
10.
Extinction des Feux. Ce monde est inhumain à un tel point, que plus que jamais, je souhaite éteindre ma lumière, et oublier d'avoir exister. Mais au lieu de cela, désormais, chaque soir, j'envoie un signal d'espoir. Je n'allume plus aucune lumière, pour montrer aux monstres, qu'ils m'ont tellement fait souffrir, que je n'ai plus peur de rien. Je sais très bien ce qui nous attends, si je cède au désespoir à la place de me révolter. Je veux voir, jusqu'où une idée folle pourrait me mener. Je veux agir, contre le futur auquel nous condamne le capitalisme. Je veux savoir, si un jour toutes les villes s'éteindront le soir. Parce qu'un être humain, à oser persévérer, à oser donner à son échelle, un aperçu de l'extinction, de l'espèce humaine. Pas que pour dire non au nucléaire, mais à toute l'inhumanité de ce monde. Nous ne sommes pas si différents et quand nous faisons des choix, cela peut avoir des conséquences. Bonne nuit, je vous aime ! Faites de vos rêves des réalités, pour que cesse enfin ce cauchemar.

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Juin 1968 - Avril 2018 : 50 ans de trop...
mai oui, il n'est pas trop tard pour commencer
et aller jusqu'au bout de nos rêves !!

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Dernière Mise A Jour Avant Quoi ?

Video Clip
www.bitchute.com/video/Qry0UIV8zF1D/
www.youtube.com/watch?v=BvyO73YU_F0

Une erreur importante. Dans les paroles du Monde à l'Envers, il y a une phrase :
"Ils mettent sans hésitation le gilet fluo de l’extrême droite,
mais rarement ne bougent le petit doigt, pour aider le moindre migrant. "
Qui reprend l'idée que les gilets jaunes soient récupérés par l'extrême droite. C'est une erreur, pour avoir été sur le terrain à leur rencontre, la réalité est très différente dans ma ville et semble t il dans d'autres, ils ne se laissent pas récupérer par les quelques militants d'extrême droite qui essayent. Ce sont principalement des personnes non encartées qui s'opposent aussi aux partis politique. Il est clair que les taxes même si elles fédèrent sont secondaires par rapport à la critique globale du système. D'ailleurs tout le paragraphe de la chanson autour est faussé, pour quelqu'un qui a arrêté la télé en 2000 et depuis presque 3 ans ne suit quasi uniquement que des médias indépendants tel Indymedia ou Reporterre, je suis surpris d'avoir été quand même induit en erreur par la propagande de l'état sur l'accointance avec l'extrême droite. Après quand je croise une radio et que j'entends parler du totalitarisme des gilets, et sur une télé, des déclarations d'edouard philippe ou des journalistes parlant volontairement d'anarchie pour qualifier des scènes de chaos... Je me dis que la propagande est sacrément plus développée que je ne le pensais. Le morceau sera modifié dès que possible, c'est l'avantage de la musique libre, elle peut être spontanée mais flexible, on reste à l'écoute et on apprend de nos erreurs...

Avant de constater mon erreur, j'ai aussi publié ce petit texte concernant les gilets jaunes,
sur la forme :
D'une part comme pour charlie où j'aurais préféré voir une floraison d'idée iconoclastes plutôt que l'uniformité affligeante d'un drapeau ou d'un je suis charlie triste à mourir.
D'autre part j'aime la diversité alors je crois que je vais me fabriquer un gilet multicolore,
ce sera pas quelque chose que j'achèterai mais quelque chose que je créerai même si ça me prend du temps. Et il sera unique.

sur le fond :
Même constat que pour les grèves pour les retraites, ou le déséquilibre était flagrant entre la mobilisation pour de l'argent face à la mobilisation pour des valeurs morales à l'époque c'était la stigmatisation des Roms. On retrouve une capacité à se mobiliser contre des taxes et une mobilisation bien moindre pour le climat ou les migrants. Contrairement à ce que veux faire croire l'extrême droite ce n'est pas les bobos des villes contre les prolos des champs, pour moi la fracture est entre les gens qui ont conscience qu'ils ne changeront pas le monde sans changer leurs habitudes, remettre en cause leur confort et surtout la place central de l'argent dans leur vie et ceux qui voudraient continuer leur train train avec toujours plus de tout.

Heureusement que je suis optimiste, car une fracture ça se soigne, déjà personne n'est noir ou blanc on est tous quelque part un peu perdus, et des deux cotés ce qu'on a en commun c'est que l'on ne peut plus nier l'impact du changement climatique, l'impact de nos habitudes alimentaires, énergétiques, culturelles etc l'impact de la politique sur nos vies. Bref de tout coté il y a une réelle volonté de changement. Attention que ce soit l'état ou les organisateurs de toute sorte, ils feront tout pour empêcher de vrais revendications en phase avec nos besoins actuels. Mais si on se rencontre on discute on réfléchit ensemble, rien ne nous oblige à ne pas choisir nos propres objectifs, nos propres façon de faire.

Après je reste prudent, il y a encore l'exemple tout frais de la ZAD, les anticapitalistes ne pourront jamais œuvrer en commun avec les capitalistes, car le capitalisme est en guerre contre toute forme anticapitaliste, comme l'exemple d'Orwell "la ferme des animaux" chaque révolution à ses opportunistes qui ensuite n'hésitent pas à planter un couteau dans le dos des idéalistes.

...Soutient total... A un détail près :
Vu la situation actuelle, c'est une piqure de rappel, on ne peut pas changer le monde, sans changer nos façons d'être. Je n'aime pas ce que sont trop souvent les "porte paroles", personne n'est mieux à même de porter sa parole que par sa voix. Une révolution sans révélation est aussi stérile qu'une révélation sans révolution. Je trouve que la chanson Oser Etre est essentielle, c'est un texte qui n'a pas été écrit par une femme, même si plusieurs ont participé avec des mots et des maux. Le capitalisme et le patriarcat sont intimement liés, pour mettre fin au capitalisme, il est nécessaire de comprendre comment mettre fin au patriarcat. Sans cela quoi qu'il arrive ce sera qu'une question de temps pour qu'en france la situation redevienne celle d'aujourd'hui ou pire.

Nietchevo,

credits

released March 26, 2018

Paroles pistes 1&2&6&8&9&10 Ed End pistes 3&4 Camille Indymedia pistes 5&7 Martin Gore

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Tkno BeurK (grand father electronic experiments)
OresteS (father post-industrial)
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Like a snake removing is old skin, Yoshiwaku continues his improvisation journey thru the virgin territory of noise begun in 1999 with Tkno BeurK.

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